[3mn Techno] Un bon E-MAILING SUPER EFFICACE, oui, c’est encore possible !

Avoir des résultats de ouf avec un bon vieil emailing c’est pas possible ?… C’est fini le temps de l’emailing efficace ?… MAIS NON !!!!
Par contre, en effet, les emailing portnawak balancés à n’importe qui, en masse, avec des images et des bidules qui clignotent, ça marche plus, on est d’accord… Notons que ça n’a d’ailleurs jamais (jamais) marché !!
Question : que se passe-t-il si on fait un bon emailing avec plein de bon sens, avec une démarche super naturelle, en en faisant ni trop ni trop peu ?
Et bein ça marche !! Ca marche toujours, et super bien.
Et nan, on ne se cache pas derrière la fausse excuse des outils qui « obligent » à faire du template graphique qui ruine tout. nan-nan-nan.
On peut encore faire un bon vieil emailing… comme on peut toujours se réchauffer à un bon vieux feu de cheminée… l’efficacité et le bon sens, ça n’a pas d’age :-)
Si vous voulez en savoir plus, il est grand temps de regarder cette vidéo !

Aider votre entreprise en valorisant la culture geek

Aider votre entreprise en valorisant la culture geek

La culture « geek » fut critiquée de nombreuses années – encore aujourd’hui – et pourtant, tous les dirigeants et entrepreneurs devraient s’en inspirer. J’irai même encore plus loin : adoptez un geek !

Mais pourquoi valoriser la culture geek en entreprise ? J’ai été à l’Art to Play, à Nantes, qui se déroulait la semaine du 9 novembre 2019, et j’ai pu noter de nombreux parallèles entre les entreprises et la culture geek. Et je pense que ces points communs sont aussi des points clés qui intéresseront forcément les entreprises et leurs dirigeants. Que vous soyez dans le management, les ressources humaines (RH), ou dans l’entrepreneuriat, ces qualités vous seront très utiles.

Parmi ces qualités, on peut nommer la créativité. En me baladant à l’Art to Play de Nantes, j’ai pu constater que les « geek » avaient une créativité absolument débordante ! Que ce soit dans la réalisation de cosplays, la création et l’animation de jeux de rôles ou de jeux de société, le dessin et j’en passe : la créativité était absolument partout ! Et grâce à elles, les « geek » sont capables d’imaginer, d’innover, et de mener votre entreprise dans une direction totalement nouvelle en vous ouvrant à de nouveaux horizons !

Bien sûr, ce n’est pas leur seule qualité. On pourrait aussi nommé leur côté technophile par exemple. Mais plutôt que de développer tout ceci ici – et aussi parce que leurs qualités sont nombreuses, je vous ai fait une petite vidéo. Et je pense sincèrement qu’en tant que dirigeant d’entreprise, entrepreneur, ou même geek, vous avez tout intérêt à la visionner. Oubliez les clichés et l’image qu’on leur attribue, regardez cette vidéo et vous verrez à quel point le geek est un atout business pour votre entreprise !

Alors bon visionnage à tous, et n’hésitez pas à me dire ce que vous en pensez dans les commentaires ! Je serai plus que ravi d’échanger avec vous sur le sujet !

Transcription textuelle de la vidéo :
Bonjour les amis. J’ai un nouveau t-shirt, et vous ne devinerez jamais ce qu’il y a dessus. [T-shirt en référence au film « Mon voisin Totoro » de Hayao Miyazaki] Je pense que c’était la devinette la moins difficile de l’histoire de la devinette. Les amis, mon beau t-shirt, il vient de l’expo « Art to Play » qui s’est déroulée à Nantes le week-end dernier, où je suis allé faire un petit tour. C’était très intéressant, et ça m’a amené une réflexion que je veux partager avec vous, dans le cadre de ce format « Transformation numérique ». L’idée que je veux partager avec vous, c’est celle du « Geek ». Je pense que le Geek est une espèce en voie d’extension, et c’est vachement bien. Croyez-en un vieux geek. Je pense que le geek sauvera le Monde, et je pense que le geek peut être extrêmement intéressant pour votre entreprise. On en discute tout de suite, maintenant. Rendez-vous de la transformation numérique… Générique ! Les amis, prenez ce que je vais vous dire comme ce que c’est, c’est-à-dire une réflexion non dirigée qui peut vous être utile… si vous avez à parler de RH dans votre entreprise, des « soft skills » que doivent avoir les gens qui travaillent avec vous. Et puis cette réflexion sur la culture geek, comme toutes les réflexions, peut être aussi un bon point d’encrage pour vos innovations, pour vos ruptures, dans vos entreprises quelles qu’elles soient. Je suis donc allé à cet événement Art to Play avec mes enfants le week-end dernier. C’était assez réjouissant, pour un vieux geek comme moi, de voir l’ampleur et la richesse d’un événement pareil, et de la culture geek globalement. Clairement, je suis d’une génération pour laquelle le « geek » était plutôt caillassé, ou considéré comme une espèce parallèle au fond de sa caverne, voire atteint de maladie mentale. Donc ça m’a fait du bien moi, à titre personnel, de voir cet événement le week-end passé. Et j’en ai retenu un parallèle, à mon sens, totalement évident, entre le développement business, d’entreprise que l’on fait nous, et cette espèce bizarre qu’est le « geek ». Ma conclusion, d’évidence, c’est que beaucoup, énormément d’éléments nécessaires à l’entreprise d’aujourd’hui, et encore plus à l’entreprise de demain, sont portés, assimilés, hissés comme un étendard par cette culture geek. Les parallèles sont, pour moi, évidents ! Le plus évident pour moi, c’est la technologie ! Les geeks sont des « early-adopteurs », des gens qui sautent sur les technologies. Très souvent du côté ludique, on fait des batailles de sabres laser en réalité virtuelle, on se balade dans des environnements en réalité augmentée, on pilote des drones avec un casque sur les yeux, toutes ces choses-là sont de l’ordre du ludique pour les geeks. C’est un jeu, c’est un amusement, c’est complètement intégré dans leur quotidien. Est-ce que ce n’est pas très exactement ce qu’il faut aux entreprises aujourd’hui pour réussir demain ? Avoir une adhésion totale aux différentes technologies qui existent, pour pouvoir les picorer, s’en servir dans notre vie professionnelle, et dans le développement de nos entreprises demain. La créativité, ça va de soi, est aussi un élément important. Alors bien sûr, avec tous les cosplays que j’ai pu croiser lors de cet événement, bah j’ai pu constater que, effectivement, la créativité c’est un truc de la culture geek ! La créativité, elle est partout, elle est à tous les endroits : dans la réflexion, dans l’art, dans le dessin, dans la construction de costume, dans le fait d’inventer des histoires, dans l’imagination, il y a de la créativité partout ! À lier à l’élément précédent : technologie et créativité. Parfois créativité seule, parfois technologie seule. Mais tout ça interagit. Est-ce que ce n’est pas un élément super intéressant quand on est une entreprise, qu’on veut innover, qu’on veut rester à la page demain, dans 5 ans, dans 10 ans, dans 15 ans, que de se reposer sur ces valeurs portées par cette fameuse culture geek ? Et les valeurs, parlons-en un petit peu ! Je suis effaré de voir, effectivement, sur ce salon, autant de bienveillance, d’intelligence, d’interaction à tous les niveaux ! Tout le monde se parle, personne ne se connait, tout le monde ne s’envoie que des petits mots gentils tout le temps, on se fait des free hugs à tous les coins du salon, c’est un truc juste génial ! C’est de l’intelligence, c’est de la bienveillance, c’est de la gentillesse, c’est le plaisir de partager avec d’autres. « Hey, c’est super ce que tu fais. Hey c’est vachement bien toi aussi. Et toi t’es passionné par quoi ? » etc. C’est que du positif qu’on donne aux autres, au service de tout le monde, et que l’on reçoit en retour. C’est un truc génial ! Est-ce qu’on n’est pas censé s’en inspirer dans le monde de l’entreprise ? Est-ce qu’on n’est pas encore plus censé s’en inspirer dans la société globalement ? Mmh… J’ai ma petite idée là-dessus, je vous laisse vous faire la vôtre. Et ça fait le lien avec un 4ème élément qui m’a sauté aux yeux pendant cet événement : c’est le côté collectif, le côté ensemble, le côté collaboratif… dans toute chose ! On fait des jeux de société : on est ensemble. On invente des jeux de baston : on le fait ensemble. On invente des règles ensemble. Même de l’origami, on le fait ensemble ! On fait tout ensemble dans ces choses-là, et à chaque fois en écoutant l’autre, en posant des règles, en réfléchissant d’abord, et en faisant en sorte que ce soit bien pour l’ensemble des gens, et non pas pour une ou l’autre des parties prenantes. Est-ce que ce n’est pas également un 4ème axe super important pour nos entreprises, est-ce qu’on devrait pas réfléchir à tout ça aussi ? Eh bah là aussi j’ai mon idée… Et le 5ème et dernier élément de parallèle entre le monde du business et la culture geek que j’ai perçu dans cet événement, c’est le bon sens, c’est le pragmatisme, que j’ai ressenti absolument partout, dans tout ce qui était fait. Tout est intelligent, tout est respectueux. Si c’est la bonne vieille bonne d’arcade qui fait plaisir, il y a aussi la bonne vieille borne d’arcade, qui côtoie les casques de réalité virtuelle. Si c’est le bon vieux jeu en bois qui nous fait plaisir, eh bien il y a aussi des bons vieux jeux en bois. Il y a du bon sens. Si ce qui nous éclate c’est de dessiner tous ensemble sur une feuille géante, eh bien c’est ce qu’on fait ! En fait, c’est ce que nous apporte une activité qu’est effectivement adoptée par l’ensemble de cette culture geek. Et je trouve ça absolument génial ! Quand un univers, quand un environnement est intéressant, qu’il soit diffusé au départ une série, par une BD ou autre chose, bah une communauté se l’approprie, et on va creuser des choses pour le faire encore plus réel, encore plus passionnant, encore plus kiffant pour chacun d’entre nous. Et on construit, comme ça, des environnements complexes, intelligents, qui ont tous ce bon sens, ce pragmatisme, qui fait du bien et qui réunit les gens, et qui leur apporte du plaisir, du contentement. Est-ce que ce n’est pas un truc dans le monde du business, et dans le monde du digital, qu’on ne devrait jamais perdre de vue ? Ce bon sens-là. Et de comprendre que tout ça, une entreprise, le digital, le web, c’est au service de gens et de notre bonheur à tous. Pardon pour cette phrase qui peut faire un peu pinpin, mais est-ce que ce n’est pas exactement ce qu’on devrait tous chercher à faire ? Bref, je suis épaté par ce que j’ai découvert là-bas ! Bravo la culture Geek ! Et bravo d’avance aux big boss, au board des grosses entreprises qui sauront s’inspirer de ça : du bon sens, du pragmatisme, de la créativité, de l’inventivité, de la technologie, de la collaborativité qui se dégagent de ce monde-là. Adoptez un geek ! Ou plutôt, faites-en sorte que le monde geek adopte vos entreprises. Je pense que la clé est là, et que si on y arrive, on aura vraiment gagné quelque chose. Je partage ces idées-là pour nous faire avancer dans nos réflexions. C’est exactement de la transformation numérique dont je vous parle. Je serai très intéressé pour que vous vous serviez de ces petits éléments que je vous ai livré dans cette vidéo, pour débattre, plus globalement, de ce qu’est le business, de ce qu’est le digital, de ce qu’est le monde en général. Je serai ravi d’en discuter avec vous. Commentez cette vidéo où que vous la trouviez. Sachez que vous pouvez revoir mes anciens… formats et ne rien louper de mes vidéos sur ma chaîne YouTube en vous abonnant. Quoi qu’il en soit, on se retrouve pour partager ensemble lors d’un prochain rendez-vous de la transformation numérique. Ce sera jeudi prochain. Et entre temps, le petit format court du mardi soir, qui est celui des « 3min techno ». Je vous dis à très bientôt. Bonne réflexion et bonne « geekerie » les amis. Je vous dis à très bientôt ! [♪♪]

[3mn Techno] Comment faire du vrai SOCIAL SELLING qui DONNE DES RÉSULTATS !!!

Le Social Selling, c’est l’art et la manière d’utiliser les réseaux sociaux pour VENDRE (ou se vendre) ! Forcément super intéressant commercialement, forcément un incontournable dans toute stratégie digitale qui se veut efficace !!
Oui, mais comment on fait ???
On picore simplement sur les réseaux sociaux que l’on connait ? On essaye des trucs et on voit ce qu’il en ressort ? On ajoute tout le monde en ami ? On produit des contenus à un rythme effréné ?… NON !
On fait les choses comme il faut !! Le social selling nécessite un travail préparatoire sur votre positionnement. Travail qui est ensuite à exploiter en respectant le parcours de « vos » internautes : les capter, les transformer en relations, puis leur proposer quelque chose qui les intéresse.
C’est du bon sens, mais personne ne fait les choses avec bon sens !!!
Je vous livre ici, pas à pas, une démarche qui vous permet d’être un social seller productif, réfléchi, humain, attentif… bref… efficace !

Si vous voulez en savoir plus, il est grand temps de regarder cette vidéo !

VOUS DEVEZ ÉCHOUER POUR RÉUSSIR (et devenir meilleur)

Vous devez échouer pour réussir et devenir meilleur !

L’échec nous fait peur depuis que nous sommes petits. Nous avons été habitué par l’école à voir l’échec comme une mauvaise chose, comme s’il faisait de nous un moins-que-rien. Chaque mauvaise note engendrait un sentiment de culpabilité et, forcément, d’échec. Nos parents n’étaient pas contents, les professeurs non plus… Mais c’est totalement différent dans la vie professionnelle !

Dans la vie professionnelle, l’échec ne devrait pas être une mauvaise chose ni quelque chose dont on a honte. Dans de nombreux pays, l’échec est vu comme un synonyme d’expérience. Votre lancement de produit a échoué ? Très bien, maintenant vous avez de l’expérience et vous savez comment mieux faire la prochaine fois ! Oh, votre entreprise a dû fermer ses portes ? Vous avez au moins l’expérience de la gestion d’une entreprise, peut-être même d’employés. Vous avez de l’expérience.

Depuis quelques temps maintenant, j’essaie au maximum de voir l’échec comme quelque chose de positif. J’irai même plus en disant ceci : je pense que l’échec est parfois nécessaire ! Sans lui, on cesse d’essayer, d’innover, de prendre des risques. On se conforte dans notre succès sans plus rien inventer par peur d’échouer : on ne veut pas détruire ce qu’on a passé des années à bâtir. C’est la plus grande erreur que vous pussiez faire !

Avoir peur de l’échec, c’est avoir peur d’avancer et penser que nous ne sommes pas assez courageux pour ne relever. S’il faut vous fait 50, 100, 200 essais pour réussir, ce n’est pas grave ! Au contraire, vous en sortirez plus expérimenté, plus fort, et encore plus fier de tout ce que vous avez pu accomplir !

Tout ceci, je le développe davantage dans la vidéo ci-dessous alors n’hésitez pas à la visionner. Je pense qu’elle ne peut que vous enrichir ! Dites-moi ce que vous en avez pensé en commentaires.

Transcription textuelle de la vidéo :

Bonjour les amis ! Bienvenue pour un nouveau rendez-vous de la transformation numérique comme tous les jeudis. Jeudi dernier, je vous ai parlé des facteurs-clés de réussite d’une entreprise. Aujourd’hui je voudrais de nouveau vous parler de « Mindset », parce que la transformation numérique c’est 20 % numérique, et c’est 80% de transformation donc c’est dans votre tête. Jeudi dernier je vous parlais de réussite, aujourd’hui je vais vous parler d’échec. Comment faire de vos échecs votre principale force ? Les amis, le message essentiel de cette vidéo c’est de vous dire qu’échouer, c’est bien. Je ne sais pas pourquoi mais j’ai l’impression qu’en garde l’échec de façon uniquement négative. Quand on reçoit un CV, on veut savoir : votre boîte-là, pourquoi elle s’est arrêtée de fonctionner. Votre employeur, pourquoi vous l’avez quitté ? Ce boulot, pourquoi vous ne l’avez pas fait une huitième année de plus ? À chaque fois, on veut qu’on nous donne une excuse pour tel ou tel échec. Alors que dans d’autres pays, l’échec c’est très positif ! « Hein, vous avez créé une boîte. Oh, et en plus elle s’est plantée. Vous devez en savoir des choses. Oh, là et tel truc, au bout de sept ans vous en avez eu marre vous avez décidé de finir, donc vous êtes vachement dynamique et inventif, et vous avez envie d’avancer dans la vie, c’est cool ! Il y a une autre façon de voir l’échec. Les amis, si je vous dis ça, c’est que j’ai arrêté depuis un petit moment de concevoir l’échec – au moins chez les autres – comme quelque chose de négatif. J’essaie toujours de voir le côté positif. Je ne vous cache pas que j’ai un petit peu de mal à le faire pour moi-même. Échouer, ce n’est jamais très agréable… À chaque fois, j’ai un souvenir qui me revient et qui m’aide, que je vous livre, mais vous vous ferez votre propre accroche. C’est celui d’un jeu vidéo auquel je jouais quand j’étais ado, qui s’appelait « Prince of Persia ». Prince of Persia, « POP » pour les intimes, c’est le petit « mentral » que j’utilise. La série « Prince of Persia » se présente sous la forme de jeu d’action/aventure mêlé à de la plateforme. Typiquement, le prince arrive dans une partie du château et doit se défaire des ennemis, trouver la sortie, éviter les pièges, résoudre les énigmes, bla bla bla bla bla… Merci Wikipedia. Prince of Persia est un jeu où, si vous voulez progresser, il faut passer votre temps à échouer. C’est pour ça que je vous en parle. Les amis, on a tous besoins de se défaire de ce poids négatif de l’échec. Prince of Persia, ou Mario si vous voulez, peut vous aider à comprendre ce que j’ai à vous dire. C’est que l’échec, c’est un excellent moyen pour réussir. L’échec est nécessaire pour réussir. Dans Prince of Persia, il faut se raccrocher à des plateformes, il faut marcher sur des dalles pour se rendre compte que : elles sont un peu tremblotantes et qu’elles vont s’écrouler. Si vous n’essayez pas de marcher sur ces dalles, vous ne comprendrez jamais que les dalles s’écroulent et libèrent un passage en-dessous. Parfois dans Prince of Persia, vous avez des sauts impossibles à faire, et vous essayez une fois, deux fois, dix fois vingt fois, trente fois, et la 31ème fois, vous vous rendez compte que vous pouvez passer si vous vous décalez un petit peu.. Et vous arrivez à choper la plateforme qui va bien. Dans Prince of Persia, vous avez votre petit bonhomme qui est tout en haut d’une falaise, il doit traverser quelque chose d’énorme, et en fait, il faut juste qu’il essaie de marcher dans le vide pour se rendre compte qu’il y a des plaques invisibles sous ses pieds qui vont lui permettre de passer de l’autre côté. Prince of Persia est un jeu dont l’objectif est de faire tout le parcours du début du jeu jusqu’à la fin du jeu en un temps limité. Eh ben pour réussir ça il faut foirer, 200, 300, 400, 500 parties. Il faut faire un maximum d’échecs pour tout comprendre, pour tout savoir, pour tout maîtriser, et pour être un champion et finir le jeu. Les amis, mon allégorie, elle vaut ce qu’elle vaut, vous êtes peut-être pas adepte de jeux vidéo, mais vous voyez où je veux en venir. Dans votre entreprise, dans vos projets, dans votre activité, dites-vous que votre objectif c’est la réussite. Et pour réussir, il faut échouer. Votre objectif n’est pas de ne pas faire d’erreur. Votre objectif, c’est d’y arriver au bout du compte. Si votre objectif il est uniquement de ne pas faire d’erreur, alors vous allez copier-coller quelque chose qui marche. Et ce que vous allez obtenir c’est une boîte nulle… Vous ne maîtrisez pas ce que vous faites, vous ne saurez pas ce qu’il faut faire et ne pas faire. S’il y a le moindre changement d’environnement sur votre marché, bah vous êtes foutu parce que vous n’êtes pas agile. Vous ne comprenez pas ce que vous faites et pourquoi vous le faites comme ça. Votre entreprise sera nulle juste si vous copiez collez quelque chose, histoire de ne pas faire d’erreur. Il faut faire des erreurs, c’est important ! Il faut faire un truc un peu différent d’un autre, donc il faut essayer quelque chose que les autres n’ont pas encore essayé. Et si vous échouez, ce n’est pas grave ! Vous saurez que cette voie-là n’est pas la bonne, et du coup vous aurez une arme supplémentaire en cas de nécessité d’être agile sur un environnement qui bouge. Et puis il n’y a pas qu’un seul chemin pour réussir ! Il y a plein de chemins qui conduisent à la réussite. Il faut les arpenter, il faut essayer, et trouver un autre chemin qui sera peut-être plus ou moins résistant, plus ou moins agile que celui de votre concurrent, et vous réussirez tout autant, voire mieux que lui, parce que vous n’aurez pas eu peur de l’échec, d’essayer quelque chose. Et quand je parle d’essayer les amis, je parle d’essayer vraiment ! Souvent, la peur de l’échec nous paralyse. On fait des petits essaies. « Ouais… il faudrait que j’essaye de joindre le patron de telle boîte, je vais essayer une petite fois, et puis ben, j’ai le barrage « standardiste », et puis ben ça n’a pas marché, « ouplapla », je vais faire autre chose finalement ce n’était pas une bonne idée… Non non, essayer c’est essayer vraiment ! Se dire dès le premier coup de fil qu’on va passer quarante coups de fil, et 39 on va se faire défoncer la tête ! Se dire quand on se lance, que oui, l’échec fait partie du chemin de la réussite ! Se dire dès le départ que l’échec n’est pas évitable, et qu’il ne faut pas l’éviter. Dites-vous dès le départ que chaque échec vous rapproche du moment où vous allez réussir. Je vais même aller plus loin : je pense que dans certains cas, l’échec c’est vraiment ce qu’il faut faire pour réussir. Je vois plein d’entreprises qui s’accrochent à ce qu’elles faisaient il y a cinq ans, il y a dix ans, en disant : « j’ai toujours fait comme ça, donc pourquoi je bougerais. » Eh ben ces boîtes-là, et ça peut tous nous arriver à un moment ou un autre, elles peuvent aussi se dire que elles sont en situation d’échec. « Ok j’ai échoué. Je ferme tout, je recommence. Ou j’arrête tout, et je fais différemment. Je lance une nouvelle activité parce que celle que j’ai aujourd’hui, elle est morte. Eh ben ceux qui arrivent à accepter l’échec, c’est ceux qui vont rebondir le plus loin, le plus fort, et le plus vite. Et ce seront eux les champions de demain. Je sais bien que cette vidéo ne va pas changer la face du monde et notre société en un coup de baguette magique, mais vous qui me regardez, on va se le dire entre quatre yeux : quelqu’un qui échoue est forcément beaucoup plus riche et va beaucoup plus loin que quelqu’un qui n’essaye pas, qui copie colle, ou qui ne fout rien. Alors les amis, on mérite mieux que ce parcours scolaire sans embûche qu’on nous impose. On mérite nous aussi nos échecs. Alors il faut qu’on essaye des trucs, il faut qu’on innove. Parce que l’échec c’est bien ! Parce que essayer, c’est la meilleure chose qui puisse nous arriver ! Et on va se planter ! Ouais bien sûr on va se planter dix fois, on sera super fort pour réussir la 11ème fois. Et puis clairement, ce qui nous intéresse c’est notre accomplissement personnel. C’est de réussir par nous-mêmes à finir le jeu. Y a rien de plus exaltant que l’écran de fin de Prince of Persia. De se dire « YES ! On y est arrivé ». Et juste après ce moment d’exaltation, quand on voit dérouler l’écran de fin de jeu, on rentre dans une profonde déprime… parce que merde, on a réussi, on a fini le jeu. Les amis, j’ai plein d’échecs à vous transmettre, j’ai essayé plein de trucs dans ma carrière qu’ont foirée et que je peux partager avec vous. Vous aussi, j’espère pour vous que vous avez raté plein de trucs. Et tous ensemble, on est plus fort aussi grâce à ça ! Vous voyez où je veux en venir avec ce « Mindset » : c’est beau de réussir, c’est aussi très bien de faire des essais, de ne pas avoir peur de se lancer, et on apprend tellement de ses échecs. L’important c’est ce qu’on fait et c’est ce qu’on est. Alors on se retrouve ensemble, les amis, jeudi prochain, pour un nouveau rendez-vous la transformation numérique. Et va falloir que je parle un petit peu plus de numérique que de « Mindset » à un moment ou un autre… Et mardi, entre-temps, vous me retrouver pour les trois minutes techno. Retrouvez tous mes formats vidéo également sur ma chaîne YouTube. Abonnez-vous à mes réseaux sociaux pour ne rien louper de nos échecs et de nos réussites les uns des autres. Je vous dis à très bientôt les amis !

[3mn Techno] Démultipliez votre IMPACT sur les RÉSEAUX SOCIAUX !

Exister sur les réseaux sociaux, être reconnu pour ce que vous faites et ce que vous êtes, c’est ce que vous voulez faire. Alors pourquoi faites-vous exactement le contraire ????
Je vous partage mon concept des « clusters », pour comprendre que votre impact sur les réseaux sociaux passe par Vous, se construit autour de Vous, avec Vous, grâce à Vous !
Et Vous avec un V majuscule ! Ce que vous êtes vraiment, en tant que personne riche de multiples facettes/intérêts/talents à faire partager.
Soyez certains que le secret pour démultiplier (vraiment démultiplier !) votre impact et votre visibilité sur les réseaux sociaux passe par l’utilisation de cette richesse qui fait ce que vous êtes : LE lien entre différents « clusters » sociaux.

LES 5 FACTEURS-CLÉS DE SUCCÈS AVEC VOTRE ENTREPRISE

LES 5 FACTEURS-CLÉS DE SUCCÈS AVEC VOTRE ENTREPRISE

En tant que dirigeant d’entreprise, nous sommes toujours effrayés par l’échec. Bien sûr, nous ne parlons pas d’un petit échec, mais plutôt de celui qui remettra en jeu tout l’avenir de notre entreprise… C’est le cauchemar de tous les patrons, que l’on soit entrepreneur, autoentrepreneur, PDG, ou qu’importe le nom qu’on lui donne : l’échec fait peur.

Et avec la transformation digitale, beaucoup de choses ont changé. Dans ce nouveau monde numérique, il est parfois difficile de s’adapter et de trouver sa voie. L’échec semble encore plus proche qu’il ne l’était avant, surtout car il existe encore plus de moyens d’échouer. Pourtant, c’est très loin d’être une fatalité ! C’est pourquoi je vous livre ici 5 facteurs-clés de succès avec votre entreprise.

Le premier facteur-clé de succès tient en un principe simple : le sens. Quel sens donnez-vous à votre entreprise ? En reprenant le concept des Cercles d’or de Simon Sinek, vous serez capable de facilement capable de le définir ! Car il tient en une seule chose : votre « pourquoi ». Pourquoi faites-vous les choses ? On ne parle pas ici du « Quoi » ou du « Comment » vous les faites, mais bien du « Pourquoi ». Quel est le sens que vous donnez à votre entreprise ? Une fois ceci défini, vous serez capable d’en informer aussi bien vos clients que vos salariés, et chacun sera dans quelle direction vous allez, vous compris !

Pour le deuxième facteur-clé et les suivants, il faudra regarder ma vidéo sur le sujet ! Je vous y livre encore 4 autres facteurs-clés de succès qui vous permettront d’aller dans la bonne direction et d’assurer votre avenir !

Transcription textuelle de la vidéo :

Le monde a changé les amis. La transformation numérique est passée par là, elle continue d’avancer elle s’accélère encore, et je vois de plus en plus de patrons de petites boîtes, de moyennes boîtes, de grosses boîtes, un petit peu paumé dans ce que sont les vrais critères de réussite aujourd’hui. Avant fallait être une grosse boîte industrielle maintenant faut être une petite boîte agile… On y perd un petit peu son latin. J’avais très envie de faire cette petite vidéo pour simplifier les choses et poser ce que sont pour moi cinq critères essentiels de réussite de business à l’heure actuelle. Les amis, j’ai pas du tout envie de compter des années, mais voilà quelques temps que je vois passer des stratégies d’entreprise. Donc ceci n’est que ma vision que je vous partage de ce que sont selon moi les cinq facteurs clés de réussite de business. Le plus fondamental c’est de donner du sens à votre activité à votre entreprise, à votre projet. Si vous n’avez pas encore bosser vos cercles d’or, il est toujours temps ! Donnez le « why » de votre entreprise, dites au monde, dites au marché, dites à vos concurrents, à vos clients, à vos partenaires, à vos salariés, ce qu’est l’objectif, ce qu’est le but, ce qu’est le sens, que vous donnez à votre entreprise. C’est super important ! La quête du sens, c’est notamment ce que poursuivent tous les grands groupes internationaux. Je voyais récemment une interview de Jeff Bezos, le patron d’Amazon, qui expliquait qu’il avait érigé en vérité absolue le sens du service client dans son entreprise. Il dit l’obsession du service client ! Ça passe avant toute chose pour lui ! Il dit à ses compétiteurs qui ne les regardent même pas, il dit à ses salariés qu’ils passent après le service client, il dit à ses clients que si vous voulez n’importe quoi, tout de suite maintenant, au meilleur prix, il va vous le trouver ! C’est hyper important comme critère de réussite de business de pouvoir donner le sens de tout ce qu’on fait. Si c’est le Graal des grands groupes, ça doit forcément être le Graal de toutes les PME de France et d’ailleurs. Au-delà du sens que vous donnez à votre entreprise, il est crucial d’avoir de vrais objectifs. Des objectifs chiffrés, des KPI réalistes, mesurables, des vrais tableaux de bord mais attention : des tableaux de bord sur les bonnes choses ! Je vous renvoie de nouveau vers vos Cercles d’or. Votre « why » et votre « how », votre « pourquoi » et votre « comment », c’est ça qu’il faut mesurer, et certainement pas votre « quoi » ! Ne mesurez pas ce qui est en bout de chaîne de la réalité de votre entreprise. Si vous voulez plein de clients pour faire plein de chiffre d’affaires… Bah mesurez le nombre de clients, mesurez le chiffre d’affaires… Ça va pas vous apporter grand-chose… Chiffre d’affaires, j’espère faire tant, bon ben j’ai fait tant. Super. Ça vous apporte pas une science, une intelligence, dans ce que vous faites. Si par contre vous avez défini que votre entreprise elle bossait pour la satisfaction du client, mesurez la satisfaction du client, trouvez un algorithme savant et intelligent pour mesurer cette satisfaction client. Si vous pensez que la réussite de votre entreprise passe par le bien-être de vos salariés, mesurez le bien-être de vos salariés. Faites des petites écoutes, essayez de trouver des calculs savants pour mesurer le bien-être de vos salariés. Relevez des métriques sur les vraies choses qui font avancer votre boîte, et pilotez votre entreprise en fonction de ces métriques-là. Ne vous trompez pas de métriques ! Dans ce monde de fous, un des critères essentiels pour réussir dans votre business, c’est de savoir régler des problèmes. Régler des problèmes, avancez, jour après jour, semaine après semaine, mois après mois, faire un petit peu mieux que le mois d’avant, c’est très important pour la réussite de votre activité. On n’est plus dans un monde immobile où il suffit de se recroqueviller sur soi-même pour que… ben le temps passe et qu’on risque pas trop notre peau. On est rentré dans une ère de Darwinisme forcenée : si vous ne vous adaptez pas au Monde, il va vous bouffer. Donc tous les problèmes que vous avez, il faut les résoudre tout de suite. Et il faut si possible les prioriser. Il faut trouver des solutions à tout ce qui peut ralentir votre boîte. Il faut régler tous les problèmes qui vous empêchent de profiter d’opportunités sur votre marché. Il faut affronter tous les dysfonctionnements structurels de votre entreprise. La capacité qu’une entreprise a de régler ses problèmes est devenue un facteur essentiel de réussite. Je le mets en quatrième point alors qu’on en parle tout le temps mais j’assume, c’est l’innovation. Innover, se disrupter, essayer d’évoluer, de faire changer la donne dans son entreprise, c’est un facteur clé de réussite de son business ! On doit toujours écouter son marché, on doit toujours essayer des trucs, on doit jamais avoir peur d’échouer. On essaie une fois, dix fois, cent fois, peut-être que une de ces fois-là, on aura une réussite qui fera à l’avenir de l’entreprise demain. Innover, vouloir se disrupter soi-même, créer sa propre concurrence, c’est une excellente idée même. Peut-être même surtout quand on est un grand groupe installé sur un marché qui bouge jamais. Je pense aux banques par exemple, qui en ce moment font tout pour essayer de s’auto-disrupter, de créer leur propre concurrence, parce qu’elles savent très bien que dans cinq ans, dans dix ans, dans vingt ans, elles n’existeront plus. Et ce qui fera la réussite de leurs activités demain, c’est quelque chose qu’elle ne font pas du tout aujourd’hui… Innovez ! L’endurance est un facteur-clé de réussite. Si on baisse les bras au premier souci, c’est mort ! Si on va pas d’échec en échec avant de réussir, on n’y arrivera jamais. Si on passe pas des années à régler tous les problèmes partout, on n’aura jamais quelque chose de fiable. Si on passe pas des années à se remettre en question, on n’aura jamais quelque chose de puissant. Le Monde bouge beaucoup trop vite et est beaucoup trop foisonnant pour qu’on ait, comme ça, une idée lumineuse qui débarque et qu’on est juste à se baisser pour la ramasser, et qu’elle nous alimente pendant des années. Ça marche pas comme ça. C’est peut-être ce qu’on a voulu nous faire croire mais ça ne fonctionne pas comme ça. L’endurance la capacité de résilience, la capacité à rebondir, la durabilité de votre projet, de votre entreprise, c’est vraiment une clé de la réussite de votre business. Les amis, là où c’est très intéressant de prendre du recul, c’est que ces cinq critères clés de réussite de business, ils valent pour les toutes petites boîtes d’une personne, et ils valent aussi pour les très très grosses boîtes. Si votre entreprise a du sens, que vous la piloter avec des objectifs dirigés vers ce sens, que vous avez une capacité à régler tout ce qui doit l’être, tout en innovant et en vous adaptant à votre marché. Si vous avez cette endurance-là, alors il y aura un moment où tout va parfaitement s’aligner, où votre entreprise va être alignée sur son marché, et c’est là que vous allez pouvoir récolter les fruits d’une parfaite réussite. Les amis, tout ça ce n’est que ma propre vision des choses. Je vous la livre en partage, alors abonnez-vous à mes différents réseaux sociaux pour pouvoir partager et commenter tout ça. Apporter votre pierre à l’édifice, comme ça on en aura plus tous ensemble dans nos petites caboches et ce sera encore plus intéressant. Je vous remercie de m’avoir suivi, je vous dis à jeudi prochain pour un nouveau rendez-vous de la transformation numérique ! À bientôt les amis ! [Musique]

[3mn Techno] Le SECRET SEO ET WEBMARKETING le MOINS bien gardé au Monde ! :-)

Tout le monde connaissait ce concept, peu l’ont appliqué… et visiblement, tout le monde l’a oublié !!!
Pourtant, ce truc marche encore mieux aujourd’hui que jamais… et il était pourtant déjà la clé de la réussite de nombreux sites web par le passé…
Si tout le monde semble avoir perdu ce truc de bon sens hyper puissant (qu’on le fasse un tout petit peu, beaucoup, ou à donf), c’est le moment de l’appliquer, vous, et de défoncer tout le monde avec un webmarketing hyper-efficace.
D’autant que clairement, ça ne marche pas qu’en SEO, c’est aussi carrément incontournable (quand on y a gouté, on ne s’arrête plus) pour les autres leviers webmarketing : Adwords, emailing et newsletter, réseaux sociaux, tout !
Up to you ! 👍