Le Growth-Hacking (allégorie de la baguette à l’ancienne)

Oh, les amis, j’ai un peu merdé sur le sujet du Growth-Hacking, donc je rétablis ma vision des choses dans cette vidéo.

Le Groth-Hacker est un animal un peu particulier… blindé de qualités techniques, malin, et ayant un sens aiguë de la croissance des activités via le digital…

Autant dire que je n’ai rien contre lui ! :-)

Cela dit, ce « buzz word » me perturbe… je vous en dis plus ici :

Le mode projet à l’école (allégorie de la soupe)

Et si le saucissonnage des matières scolaires créait une vraie dichotomie (c’est pas faux) avec la vie réelle ?…

Et si on ne faisait pas travailler nos enfants de la bonne manière ?

Une interrogation scolaire mais surtout, je crois, sociétale.

La conclusion de mes réflexions me semble tellement basique que je me dis que j’ai du louper un truc…
On échange ? On y réfléchit un peu ?…

Voila ce que j’en pense :

Intelligence artificielle (allégorie de R2D2)

On commence (oh joie !) à aborder ensemble des sujets qui s’éloignent un peu de mon métier… un peu mais pas trop en fait… :-)

Ici, ma compréhension de l’Intelligence Artificielle… ou DES intelligences artificielles, tant ce terme, très à la mode, regroupe un lot d’idées et de concepts finalement très différents je crois…

Je vous livre ce que j’en pense, et reste avide de vos retours et de vos éclairages :

Webmarketing vs besoins de l’entreprise (allégorie du puzzle)

Une vidéo sur un sujet très « pro » me concernant.

En pleine réflexion continue sur le marché du Webmarketing en France, je m’étonne d’un manque de concordance entre les offres proposées par le milieu, souvent plus ou moins expert, du webmarketing, et les besoins réels et concrets des entreprises…

Selon moi, on peut distinguer 3 grandes familles d’entreprises face au digital.

Les plus grandes, qui ont besoin, en réalité, d’une vraie fonction de Responsable de Stratégies Digitales (ou « CDO »). Une fonction transverse au service de l’entreprise globale et des différents départements qui la composent… parce que le digital peut, et doit, apporter à chacune des fonctions.

Les PME, qui ont besoin concrètement d’établir les plans de ce qui peut leur être utile dans le digital, et ce qui ne l’est pas. Puis qui ont besoin d’experts en fonction de sa stratégie, pour mettre en place les choses, puis procéder à un transfert de compétence pour l’interne.

Les plus petites entreprises, qui ont besoin des fruits du digital : du CA, des clients, des prospects, sans avoir les moyens humains et financiers pour investir tous azimuts. Qui ont donc besoin de résultats et pas forcément d’offres expertes, et encore moins d’offres au moyen investis (arg).

Je suis en pleine interrogation sur ces sujets cruciaux pour ma propre entreprise. Je serai ravi d’avoir vos opinions sur ce sujet. Ca me parait être une nécessité vertueuse que de s’interroger sur ce genre de sujets de fond…

Pourquoi ne pas partager tout cela avec vous ? Entreprises, acteurs du digital… après tout, la réflexion ne peut être que profitable à tous.

Je m’interroge donc ici :

Réseaux sociaux vs bienveillance (allégorie du marron)

Je reviens (enfin, désolé) avec une vidéo un peu perso…

A l’occasion des fêtes et d’un retour dans le petit village de mon enfance, une vidéo pour traiter du sujet « trollesque » par excellence : l’expression libérée et souvent méchante qui occupe un espace disproportionné sur les réseaux sociaux.

J’aborde ici la problématique de l’espace non-modéré qu’offre certains médias digitaux en faisant un parallèle (hasardeux ?) avec les espaces physiques desquels les abrutis de mon enfance profitaient pour être méchants, sans beaucoup de réaction de qui que ce soit… Pour autant, dans la vie réelle comme dans le digital, de nombreux intervenants potentiels, souvent plus bienveillant et/ou plus intelligents, restent passifs, avec le risque d’être « contaminés » par la bêtise visible.

Quelles solutions ? Interdire l’expression des imbéciles ? Non. Disposer d’une armée de modérateurs ? Peut-être. Avoir un équilibre réel apporté par l’ensemble des contributeurs potentiels motivés par le partage constructif ? L’idéal probablement.

La question est ouverte et je n’ai pas la réponse.
Votre eau à apporter à ce moulin ?…

Le tout est à retrouver ici :

La fidélisation : l’arme absolue du webmarketing (allégorie du Shuriken)

Encore un décor nippon pour un sujet, encore une fois, webmarketing.

Un sujet de choix : la fidélisation.
LE truc que tout le monde oublie tout le temps… bien à tort !
C’est en effet le levier LE plus rentable car LE plus efficace et LE moins cher… alors pourquoi l’oublier nom de nom ?!…

On aborde ici ce sujet, que j’ai l’habitude de décrypter en 3 « types » :
La fidélisation des « suspects », en clair les visiteurs réellement ciblés. Ceux qui vous découvrent, vous connaissent… mais que vous ne connaissez pas et dont vous ne faites malheureusement rien la plupart du temps.
La fidélisation des prospects, celle qui rapporte le plus, qui est la moins couteuse en argent, mais nécessite un peu d’empathie.
La fidélisation des clients enfin, celle que l’on connait bien mais que l’on pratique encore bien trop peu… en espérant que ce « shuriken » vous incite à passer à l’action !

Le tout est donc à retrouver ici :

Le webmarketing au Japon (allégorie du coucher de soleil)

Le Japon utilise peu Google, bien moins que nous.
Le Japon utilise Yahoo, vraiment beaucoup.
Le Japon passe son temps sur mobile, et sur les réseaux sociaux (notamment le sien : Line).

Pas simple de comprendre pourquoi quand on est loin… Et pas beaucoup plus quand on vient de poser le pied au Japon.

Mais après quelques jours en immersion dans les petites rues des villes moyennes, on capte un truc !

Je vous en parle dans cette vidéo, confuse, je m’en excuse, tournée à l’arrache au milieu des touristes… Mais la lumière du coucher de soleil dont je voulais vous faire profiter m’imposait le timing.

J’évoque ici la composition du marché Nippon : Quelques gigantesques groupes et une myriade de sous-traitants. Ces derniers, ce sont des entreprises qui ont pignon sur rue, mais un pignon de 3m de large sur la rue.
Ces boites, elles comptes 1, 2 ou 4-5 salariés.
Elles n’ont pas de nécessité à communiquer, elles sont trop nombreuses… et ont la nécessité d’être trouvés uniquement quand on les cherche !
Du coup, on les trouve par un annuaire comme Yahoo : un « moteur de trouve » (qui vous donne une réponse juste à une recherche hyper-précise que vous spécifiez) et pas sur un « moteur de recherche » comme Google (qui vous laisse lui poser une question flou pour vous donner des tonnes de résultats possible).

J’évoque super rapidement un autre sujet, qui mérite qu’on y réfléchisse ensemble dans une autre vidéo : au Japon, la gentillesse est une vraie valeur forte. Du coup, on ne pense pas à faire croire que… à laisser penser que… à dire que… on est, on le prouve, c’est tout. On est donc sollicité par son client sur ce qu’on fait, ni plus, ni moins. Ca joue aussi, je crois, sur l’équilibre des forces market/com et Yahoo/Google. Bref.

Il y a d’autres raisons, mais c’est la plus structurelle je crois… pour ce que j’en ai vu jusqu’ici… et je vous fait ici partager ce que je vois :

Communication vs Marketing (allégorie du Yakitori)

Une fois (de plus) n’est pas coutume (mais faut faire gaffe que ça n’y ressemble pas), une vidéo de type « Truc vs Machin ».
Le sujet du jour tente de démêler la communication du marketing (ou inversement)… Bon, ok, il n’y a pas débat, et je m’amuse donc à la caricature ici.
J’aurai pu prendre tout un tas d’images pour vous dire ce que j’en pense, mais là, sur cette terrasse de Tokyo, l’image s’est imposée d’elle même.

Bien entendu, et comme d’hab’, je vous invite à débattre de ce sujet… qui reste tellement caricaturalement traité que ça pousse à l’échange entre nous tous. Profitons-en ! :-)

La vu de Tokio, et l’allégorie du Yakitori sur le match « Com vs Market », c’est donc ici que ça se passe :

Intelligence artificielle vs Big-data (from Tokyo with love)

Un sujet de joyeux expatrié au pays de l’innovation : Intelligence artificielle (ouaiii) et Big-data (bouuuh), deux choses qu’on mélange allégrement, mais qui n’ont rien à voir l’une avec l’autre même si leurs possibles destins semblent liés…

Une vidéo en mode « Blade Runner » ou en mode « Lost in translation », au choix…

Le sujet est un sujet de vocabulaire… donc un sujet de sens… donc crucial, afin de bien en parler ensemble à l’avenir.

Le déclic c’est fait à la lecture de 2 articles à propos de Google (encore lui), traitant de ces deux sujets (Data et IA), mais, bizarrement, rédigés complètement à l’envers…

A bien y réfléchir, une petite discussion sur le sujet s’impose :

Allez, une petite vue du Gundam géant d’Odaiba en prime :

Uberisation vs Disruption vs Transition digitale… Bullshit ?…

En vidéo (c’est mieux) : Une question de vocabulaire pour bien démarrer.
Les mots ont un sens, et autant se mettre d’accord dès que possible sur les concepts dont on risque de parler ensemble de temps en temps :-)
Entre Ubërisation, révolution numérique, disruption, transition digitale… il y a probablement à échanger, concrètement, pour identifier ce qui est quoi… et ce qui n’est rien ! :-)

Au gré de mes échanges, j’en arrive régulièrement à parler de « transition digitale »… mon terme préféré pour désigner ce qui s’apparente pour moi à une adaptabilité de chacun face à des changements, mus pour certains par le digital.

J’en entends aussi pas mal d’autres… et j’ai l’impression qu’ils sont utilisés à tort et à travers pour la plupart.

Sommes-nous censés définir un vocable clair et porteur de sens, sommes-nous censés tout envoyer valser, sommes-nous censés passer sur tout ça sans trop y penser ?…
Je crois que la question nous appartient… et la réponse aussi ! :-)