Comment appliquer le concept des Cercles d'Or de Simon Sinek ?

Comment appliquer le concept des Cercles d’or de Simon Sinek ?

Le concept des « Cercles d’or » de Simon Sinek est extrêmement important pour vous ! Que vous soyez entrepreneur, chef d’entreprise, manager, candidat à l’emploi, RH ou même coach d’une équipe de basket, ce concept vous intéressera forcément !

Les Cercles d’Or, c’est avant tout un concept traitant du « Quoi », du « Comment » et du « Pourquoi ». Mais c’est ce dernier qui nous intéresse le plus car c’est l’élément clé ! C’est l’élément celui qui vous permet d’améliorer votre leadership, votre management, votre société ou business, et même votre vie en général.

Et même si vous la connaissez déjà, je vous conseille vivement cette vidéo pour en savoir encore plus sur ce concept, mais surtout ses applications ! N’hésitez pas à me dire en commentaires ce que vous en avez retenu.

Transcription textuelle de la vidéo :
Cette vidéo est super importante pour nous deux.

Que tu connaisses ou pas les Cercles d’or, il est crucial que tu regardes cette vidéo et que tu poursuivre notre échange jusqu’au bout. Parce que cette vidéo va rendre ton entreprise, ton activité plus intelligente. Cette vidéo va rendre tes projets plus intelligents grâce à toi. Et tu ne peux pas passer à côté parce que rendre tes projets plus intelligents, c’est le truc le plus essentiel, plus fondamental que tu peux faire, c’est la meilleure chose que tu puisses proposer pour prospérer dans ce monde de fous.

Je vais lancer mon petit générique, ce qui va te donner les quelques secondes nécessaires pour mettre en pause les autres petits trucs que tu fais à côté, pour bien te caler, bien te « focuser » sur ce qu’on va se raconter, et profiter complètement de cette vidéo.

J’aurais pu faire l’intro de cette vidéo en te parlant du « quoi ». En te disant que j’allais te parler d’une méthode qui s’appelle les « Cercles d’or », qui a été pondue par Simon Sinek, qu’il en a fait un livre qui s’appelle « Start with why ». J’aurais pu faire ça… Je suis pas sûr que tu serais resté… J’aurais pu faire beaucoup mieux et faire une intro de vidéo en parlant du « Comment ». Que les Cercles d’or, c’est le concept qui t’explique qu’il y a le cercle du « Quoi » : qu’est-ce que tu fais, et que ce n’est pas très très intime, intense, ni très important ni très intéressant. Qu’au milieu il y a le cercle du « Comment » qui est un cercle plus petit, plus restreint, mais qui donne beaucoup plus d’informations sur ton organisation, ton process, sur comment tu fais les choses. C’est plus intime, plus intense, et plus intéressant. Et qu’au milieu il y a le cercle du « Pourquoi » qui donne le sens, qui donne la raison d’être, qui connecte les gens entre eux, qui dit tout ce qu’il y a à dire sur ton activité, sur ton projet, et qu’il n’y a que ce petit cercle du « Pourquoi » intense et intime qui compte. Mais peut-être qu’en faisant une intro comme ça, qui est vachement plus intéressante, j’aurais quand même perdu tous ceux qui connaissent déjà la magie des Cercles d’or.

J’ai basé cette intro sur le pourquoi il fallait regarder cette vidéo. Je vous ai dit que ce que j’allais vous raconter allait rendre plus intelligente votre activité, votre entreprise. Et je le pense vraiment ! C’est ce que j’ai envie de vous apporter et c’est ce que vous allez recevoir. Et encore, je vous parle de l’intelligence
au sens : « savoir plein de choses » ! C’est pas la meilleure des intelligences celle-là. Je vous parle pas de savoir plus, je vous parle de savoir mieux ! De mieux comprendre le monde, d’être plus humain, plus à l’écoute, plus attentif, plus connecté. L’intelligence humaine, l’intelligence sociale, l’intelligence intellectuelle aussi, l’intelligence du cœur, c’est de cette intelligence-là dont je vous parle. Eh ben les Cercles d’or nous fournissent une lecture pour toutes ces choses-là !

La première des applications on est en train de la vivre maintenant. C’est que parler du « Pourquoi » plutôt du « Comment » ou du « Quoi », ça connecte les gens. Je vous parle de ce sujet parce que j’ai envie, vraiment, de vous impacter pour rendre tout ce que vous faites dans votre business plus intelligent. C’est ça qui m’intéresse ! Eh ben vous êtes en train de m’écouter parce que c’est ça qui vous intéresse aussi. On est connecté, on parle de la même chose et d’une chose qui a du sens. La deuxième application magique des Cercles d’or, mais c’est souvent celle qu’on donne tout le temps et souvent on s’arrête là, c’est celle de la Com’ ! Il est évident que les Cercles d’or c’est magique en terme de Com’ ! Bien sûr qu’il faut pas dire ce que vous faites quand vous êtes expert-comptable : vous faites des bulletins de paie et des bilans… Super. Il faut parler un peu plus du « Comment » : vous, vous avez des experts, ou vous vous avez des mecs qui vont super vite. Ça crée des entreprises différentes. Il faut surtout parler de votre « Pourquoi » : « nous en fait on est expert comptable pour vous donner de la fiabilité » ou « nous pour vous donner de l’optimisation. » Ça ne fait pas les mêmes entreprises, ça n’a pas le même sens.

Il faut toujours, comme dit Simon Sinek avec ses Cercles d’Or, commencer à parler du « Pourquoi », ça va vous faire gagner un temps fou, et beaucoup plus d’impact, beaucoup plus de connexions, que de parler du « Comment » ou du « Quoi ». Et rien dans ce domaine de la Com’ il y a plein d’applications. Je pense par exemple aux sites internet : le header il parle de votre « Pourquoi », le menu il parle de votre « Comment », la suite de la page du « Quoi ». Je pense aussi au pitch. Au pitch de votre entreprise que vous faites. Arrêtez de dire : « nous sommes l’agence 404, nous vendons des services en réseaux sociaux, des formations en SEO, en SEA, en emailing, en machin… C’est chiant ! Dites comment vous faites les choses : « On est organisé comme ça parce que c’est vachement plus malin et que ça vachement plus loin. » Pourquoi ? « Parce que nous on veut rendre les entreprises plus intelligentes avec le digital, ce qui va leur apporter de la pérennité et de la croissance à long terme dans un monde de ouf. » Le pourquoi et forcément vachement plus intense : il va plus vite à dire, et il permet beaucoup mieux de vous connecter à votre cible, à vos prospects, à vos clients, à vos partenaires.

Ok pour la Com’, mais il y a un autre champ d’application des Cercles d’Or qui me bluff à chaque fois : c’est celui des ressources humaines. Du recrutement ou, à l’inverse, de la recherche d’emploi. Si vous êtes un candidat à l’emploi réfléchissez à pourquoi vous postulez dans telle ou telle boîte. Fixez-vous déjà votre « pourquoi », et ne postulez que dans des boîtes qui correspondent. Et dites-le franchement ! « J’ai postulé chez vous parce que je veux avoir une bonne rémunération. Je suis à une étape de ma vie où j’ai besoin d’avoir un bon salaire. Je me suis renseigné, je sais que votre boîte donne des bons salaires donc je postule chez vous. J’ai envie de bosser avec vous. Échangeons ensemble pour savoir comment je peux être le plus utile, le plus efficace le plus rentable pour votre entreprise. Et on sera gagnant tous les deux. » Dites-le franchement ! Ou pourquoi pas : « Je postule dans votre entreprise, je n’y connais pas grand chose à votre domaine mais j’ai envie de tout savoir. Et votre boîte, elle parle de tous ces domaines, et elle a l’air vachement experte. S’il vous plaît, recrutez-moi ! J’apprendrai tout ça, je serais un de vos meilleurs éléments au bout de quelques années parce que j’ai soif d’apprendre tout ce que vous avez à me dire. » Dites-le franchement ! Ça, ça vous fera des bons boulots ! Et c’est la même chose quand on est recruteur. Les entreprises ne lisent plus les CV. C’est pas qu’on s’en fout, c’est que les CV n’apportent aucune information. On veut le « pourquoi » on vous recruterait.

Un quatrième champ d’application des Cercles d’or, c’est celui du management. Un manager ne parle pas du « quoi » avec ses équipes. Ses équipes savent bien mieux que lui le « quoi ». Par contre, ils partagent avec eux le « comment » : « Hey les gars, à votre avis, on pourrait pas faire un peu différemment ? » Ça c’est intéressant pour un manager de fédérer autour du « comment ». Et puis le manager, il est surtout là pour dire le « pourquoi » : « Les gars, ce qui nous importe nous, c’est d’avoir un produit super fiable à la sortie de la chaîne. Donc le comment on en discute ensemble ! » Ça c’est motivant ! Ça c’est du management. Quand je pense aux Cercle d’or dans le management, je ne peux pas m’empêcher de penser
au coach de basket au bord du terrain. Il leur crie des trucs, il leur crie pas du « quoi » : « Dribble main droite, dribble main gauche maintenant, passe à gauche, passe à droite. » C’est stupide. Aucun coach ne fait ça. Le coach, il hurle sur ses joueurs du « comment » : « Il faut qu’on soit plus costaud en défense, il faut plus s’écarter en attaque. » C’est du « comment ». Et puis il va prendre des temps morts quand ça va pas trop bien, pour expliquer à ses joueurs le « pourquoi ». « Vous savez ce que je veux qu’on fasse les gars, c’est qu’on mette le doute dans l’esprit de l’adversaire. C’est pour ça que je vous demandais de bien serrer en défense. C’est pour ça que je vous demandais de bien bouger et d’écarter le jeu en attaque. C’est pour foutre le doute dans la tête de l’adversaire. Allez on y va ! »

Eh bien ça nous amène naturellement au sujet du leadership, où là aussi il y a un vrai truc avec les Cercles d’or. Si vous voulez être un leader charismatique, écouté, respecté sur votre marché, ne passez pas une seconde à faire du « quoi ». Ne faites pas à la place des autres. Passez 20% votre temps à discuter du « comment » on peut faire les choses. Vous êtes inspirant, vous êtes un leader. Parlez 80% de votre temps du « pourquoi » vous faites les choses ! Donnez du sens ! Allez sur ce chemin plein de sens, et ne faites rien d’autre. Chaque seconde passée sur quelque chose qui n’est pas du « pourquoi » est une seconde perdue pour un leader.

Une autre application… des cercles d’or, c’est dans la transmission d’entreprise. Ça se passe toujours bien quand on partage le même « pourquoi ». Ça se passe toujours mal parce qu’on parle du « quoi » ou parce qu’on se prend la tête sur du « comment ». Le « comment, c’est de l’organisationnel, c’est du process. Le prochain patron il fera son organisation et son process. Par contre, s’il y a une transmission d’entreprise, le « pourquoi » il ne change pas. Oui, ça se passera bien, quel que soit le « comment », et quel que soit le « quoi », parce qu’on partage le même sens, le même « pourquoi ».

Un autre domaine super important pour les cercles c’est le commercial ! Pensez à un truc : c’est que vos clients qui sont récurrents, qui vous achètent à vous depuis des années, ils achètent du « pourquoi » chez vous. Ils achètent de la fiabilité à leur expert-comptable. Ils achètent quelque chose qui n’est pas le produit, le « quoi » que vous leur vendez, ils achètent du « pourquoi ». Donc il faut penser à vendre du « pourquoi » à vos clients.

Il y a plein d’applications des Cercles d’or, c’est un truc de dingue ! Si vous en avez retenu au moins une, franchement j’ai gagné ma journée ! Si vous pensez que je vous ai apporté quelque chose, faites-moi plaisir : moi ce qui me rend heureux, c’est que vous mettiez un petit like, que vous vous abonniez à ma chaîne YouTube. Il y a mon fils qui me fait des bisous supplémentaires si j’ai plus d’abonnés sur YouTube. Allez vous abonner à ma chaîne YouTube, c’est ça qui me ferait plaisir.

Et bah c’est la dernière application que je voulais vous livrer sur les Cercles d’or. La grille de lecture que ça vous apporte sur votre bonheur. Si vous passez du temps à faire du « quoi », si vous vous galérez à faire du « comment », vous faites votre malheur ! Vous allez droit vers le burn-out ! Par contre si vous bossez sur du « pourquoi » dans un environnement aussi difficile soit-il, je vous annonce que vous êtes vacciné contre le burn-out. Si ce que vous faites a du sens, si le sens de ce que vous faites vous convient, alors vous êtes heureux professionnellement. Les Cercles d’or vous donnent une grille de lecture sur votre plaisir et sur votre bonheur. Si moi en retour, j’ai fait un petit peu votre bonheur en vous parlant des Cercles d’or, bah je suis super content !

Merci de m’avoir écouté, et à très bientôt les amis !

[3mn techno] Doubler les résultats de son site web

Vous vous êtes déjà demandé si votre site peut générer plus de résultats concrets ? Surement !
Est-ce que vous avez pensé à cet axe du problème ?… Peut-être pas :-)
Le fait est que la bonne approche n’est pas toujours celle du « capter plus de trafic » ou en tous cas pas seulement.
Il s’agit, comme souvent dans le webmarketing, de mettre les choses en synergie… et magiquement, ça marche deux fois mieux immédiatement !!
« Magiquement » ai-je dit ?… En fait non, désolé pour les magiciens, c’est super logique et assez évident en fait (à se demander pourquoi quasiment personne ne le fait !!!)

Voyons ça ensemble en (presque) 3 minutes dans ces 3mn technos dédiées à l’efficacité concrète de votre site web !

Qu’est-ce que le concept de « pivot » ? (Cercle d’or)

Qu’est-ce que le concept de « pivot » ? (Cercle d’or)

Vous faites face à des difficultés, et vous voudriez redonner un second souffle à votre entreprise ? C’est ici que le concept de pivot intervient ! Mais qu’est-ce que le pivot justement ?

Il s’agit d’un concept qui se base sur le Cercle d’or de Simon Sinek, et qui vise à faire pivoter votre entreprise vers une direction différente sans changer sa nature ! Il ne vous faudra modifier que le « comment », c’est-à-dire votre façon de faire les choses sans toucher au « pourquoi » ni au quoi « quoi ».

L’idée du pivot d’entreprise, c’est de repenser votre manière de faire. Et je vous explique comment dans cette vidéo. On en reparle ensuite en commentaires !

Transcription textuelle de la vidéo :

[Charabia magique]

(Voix off) Mais qu’est-ce que tu fou ?

De la magie noire !

[Charabia magique]

(Voix off) De quoi ?

De la magie noire… Excuse-moi d’essayer quelque chose… J’ai besoin de trouver une nouvelle activité pour ma boîte, j’ai envie de trouver un second souffle, c’est vachement important ! Tu fais quoi toi ?

(Voix off) Aïe aïe aïe… Bah moi, je pivote !

Pivote… Comme ça ?

[Petit rire]

Vous avez besoin de trouver un nouveau souffle dans votre domaine d’activité ou vous avez envie de lancer une nouvelle activité sur votre domaine… Laissez tomber la magie noire, il faut absolument que je vous parle du concept de « pivot »…

[Petit rire]

Non, pas de « Pivot », de « pivot ».

Aujourd’hui c’est crucial pour moi de vous parler d’un concept, qui n’est qu’un concept, donc en fait vous en fabriquez ce que vous voulez, et vous pouvez le tordre à votre manière mais ça va forcément vous apporter un plus… C’est le concept de « pivot ». Alors le « pivot », qu’est-ce que c’est et qu’est-ce que ce n’est pas ? Pour vous l’expliquer, je vais me baser sur les « cercles d’or », il faut absolument que je vous fasse une ou plusieurs vidéos sur les cercles d’or, parce que c’est un truc gigantesque. Je vais me baser là dessus.

Dans une entreprise, vous avez le « Why » de l’entreprise, le « pourquoi » elle est ce qu’elle est. Le pivot ne touche pas du tout au « pourquoi » de l’entreprise, le pivot ce n’est pas le « why ». Une entreprise qui change sa raison d’être et la direction qu’elle prend, à mon avis, ça ne peut arriver que lorsque vous avez le rachat d’une entreprise par un investisseur, et généralement, c’est suivi d’un changement tellement bouleversant que vous avez un turnover d’à peu près 100% dans votre boîte. Le pivot, ce n’est pas changer le « why », le « pourquoi » de l’entreprise.
Dans les cercles d’or, on parle aussi du « what », du « quoi » de l’entreprise. Qu’est-ce qu’elle fait, quels sont ses produits et services ? Pivoter ne touche pas le « quoi », ne touche pas les produits et services de l’entreprise. En fait, vous verrez que vous pouvez modifier votre offre de produits ou de services, et qu’en fait ça n’a pas une influence si énorme que ça sur votre entreprise. Pivoter ce n’est pas le « why » et ce n’est pas le « what ».
Il nous reste le « how », le « comment », eh bien c’est ça pivoter. C’est changer le « how », modifier le « comment » de l’entreprise. Vous gardez le même cap, vous gardez la même âme, vous gardez le même ADN. Peut-être que vous allez faire évoluer vos produits ou services, mais c’est pas trop grave. Mais surtout, vous allez complètement changer votre « comment ». Imaginez par exemple que vous soyez une entreprise qui fait des fruits et légumes. Eh bien votre volonté dans la vie, vous avez fait ça, vous avez monté votre boîte, pour bien alimenter les gens, pour qu’ils aient des bons produits à manger. Parce que pour vous c’est crucial. Très bien ! C’est le « why », n’y touchez pas ! Votre « quoi », bah c’est vos fruits, c’est vos légumes. Pas de problème, touchez-y ou n’y touchez pas, ça n’a pas une énorme importance. Par contre, vous pouvez bouger le « comment », et ça c’est véritablement faire un pivot. Par exemple, vous pouvez décider d’alimenter votre marché avec des quantités énormes par grands transporteurs, et d’envoyer vos fruits et légumes français à l’autre bout du Monde. C’est un modèle business, pas de problème ! Avec le même « why » et avec les mêmes « quoi », vous pourriez faire totalement différemment, et fournir les petits restaurants parisiens, avec des petits livreurs, en petite quantité. Ça peut être un « comment » totalement différent qui indique que vous avez une entreprise qui peut être très, très différente. C’est ça pivoter. Passer de l’un à l’autre.

Je vous dis les choses comme je le sens hein, je n’y mets pas les formes. Mais on n’est pas non plus… à la dictée de Pivot ici…

Alors tout ça c’est super et c’est vachement intéressant, mais comment on fait pour faire pivoter sa boîte ? La première réflexion que vous pouvez avoir, c’est d’arrêter de vendre votre « what ». Allez chercher plus loin, vendez autre chose que ce que vous expédiez ou que ce que vous livrez à vos clients. Si vous voulez pousser la réflexion, essayez de vous demander ce que vos clients vous achètent, plutôt que de vous dire ce que vous leur vendez. Par exemple, discutez avec vos clients. Votre petit restaurateur qui se fournit en fruits et légumes chez vous, peut-être qu’il va vous dire : « Bah moi, j’aime bien bosser avec toi, parce que s’il y a un changement de dernière minute, si je peux modifier des menus, paf paf, je te passe un coup de fil, et le lendemain tu me changes mon panier, c’est vachement cool ».
Pensez à ça. En fait, ce n’est pas seulement vos fruits et légumes qu’il vous achète, c’est aussi la souplesse, c’est aussi le fait qu’il peut modifier des choses, c’est aussi le fait que vous accompagniez sa créativité de restaurateur à lui. C’est génial ! Et c’est peut-être un peu plus kiffant que des fruits et des légumes. En tout cas, voilà un pivot que vous pouvez identifier dans votre boîte : « tiens, je livrais bêtement, mais je m’étais jamais rendu compte que, effectivement, je vendais, en plus de mes fruits et légumes, de la souplesse à mes clients. Et vous pouvez pousser encore plus loin cette réflexion pour identifier des pivots. Si ça se trouve même, vous avez déjà un pivot qui larve dans votre entreprise, qui est là en train de maturer dans votre entreprise. Par exemple, est-ce que vous avez chez vous un responsable qualité qui surveille tous les légumes et fruits que vous envoyez à vos clients pour dire : « Non non, celui-là il est un petit moche, un petit peu gâté, on le met pas, on en met un autre. » Si ça se trouve, vous le faites déjà. Réfléchissez-y ! Peut-être que ce que vous vendez, c’est de la qualité ! Peut-être que vous auriez tout intérêt à vous positionner, à positionner votre entreprise sur le fait que vos fruits et légumes peuvent être consommés comme ça, parce qu’ils sont magnifiques, ils sont triés sur le volet. Si ça se trouve, ce sont des choses que vous faites déjà qui seront votre pivot de demain.
Dernière piste, soyez attentif à ce qui vous agace dans votre activité, dans votre entreprise. Peut-être qu’il y a un truc qui vous énerve, vous ou un de vos collaborateurs, par exemple de dire : « Mais c’est pas possible qu’on soit pas capable d’envoyer nos fruits et légumes qui sont si bons en Chine. Mais pourquoi ce serait pas possible ? Il y a forcément un moyen de le faire ! » Peut-être que ça vous agace. Eh bien peut-être que cet agacement, cette frustration, qui correspond sûrement à votre « why » quelque part, elle peut faire naître un nouveau pivot dans votre entreprise. Comment je pourrais faire pour vendre plutôt de la « délivrabilité » à l’autre bout du monde, plutôt que mes fruits et légumes. Ça peut être encore une bonne piste de pivot pour votre boîte. Une fois que vous avez identifié cette idée de pivot, je vous invite vraiment à la partager le plus largement possible. Si vous gardez ça pour vous, ce n’est pas un pivot. Un pivot, ça s’assume. Vous allez voir vos collaborateurs et vous leur dites : « Les gars, on a toujours pensé que fournir des meilleurs produits, c’était ça notre boulot. Eh bien les gars, j’ai envie qu’on en fournisse partout dans le Monde. Est-ce que vous me suivez ? » Et là, vos collaborateurs vont soit vous suivre et vont rester avec vous, soit pas vous suivre parce que ce n’est pas ce qu’ils veulent. Bah il vaut mieux qu’ils aillent ailleurs, et il vaut mieux que vous recrutiez d’autres collaborateurs qui vont être prêts à vous suivre dans ce challenge. C’est vraiment challengeant tout ça. Vous pouvez faire la même chose avec vos partenaires : « Vous savez monsieur le restaurateur, j’ai vraiment envie qu’on fournisse de la souplesse à nos clients. Est-ce que vous êtes partant avec nous ? » « Oh, mais bien sûr, je vous commande trois fois plus si vous m’apportez toute cette souplesse ! » Et puis il y a d’autres clients qui vont dire : « Bah moi je vais pas payer en plus cette souplesse dont je me fous. » Bah voilà, vous allez perdre des clients, vous allez en gagner d’autres. C’est pour ça que c’est un pivot. N’oubliez pas un truc, c’est que c’est la synergie qui compte ! Donc il faut assumer votre pivot, il faut le dire à vos collaborateurs, il faut le dire à vos partenaires, il faut le dire à vos clients, il faut le dire à vos fournisseurs. C’est un tout, c’est une synergie, c’est un écosystème. C’est un… bouillon de culture…

Très bien, on a vu ce que c’était le pivot, on a vu comment faire. Ce qui est important c’est de savoir pourquoi on le fait. Qu’est-ce que ça nous apporte et qu’est-ce qu’on y risque ? Bah en fait comprenez un truc, c’est qu’il n’y a pas grand chose à risquer. Notamment parce que rien ne vous empêche de faire plusieurs pivots en conservant ce que vous étiez avant. Vous pouvez très bien imaginer avoir votre activité comme elle était avant, de fruits et légumes, et de créer une nouvelle branche d’activité, pourquoi pas avec une nouvelle marque, une nouvelle équipe, des nouveaux partenaires, pour livrer sur des grands marchés étrangers. Vous pourriez aussi imaginer créer une nouvelle marque, avec une nouvelle équipe, pour approvisionner les petits restaurateurs de façon super souple dans votre ville. Rien ne vous empêche d’avoir plusieurs boîtes, plusieurs marques, plus activités. Le seul risque que vous pourriez avoir, c’est si vous faisiez un pivot avec la même activité et la même marque. Ça ne se fait pas à moitié un pivot. Vous ne pouvez pas dire : « Nous on est vachement bien à l’étranger, et puis on va faire le tour du globe en bateau pour vous livrer aussi juste à côté de chez nous ». Ça ne va pas le faire. C’est soit l’un, soit l’autre. Mais vous pourriez aussi avoir l’un et l’autre. Mais pas les deux en même temps dans un truc un peu brouillon. Et puis dire à vos collaborateurs : « Si si, on fait encore de la quali, mais ce serait bien de faire du prix aussi. » Non, c’est foireux, c’est inatteignable, c’est embêtant… Si vraiment c’est un pivot, ce n’est pas juste une petite évolution, je vous invite à créer une autre stratégie, peut-être une autre marque, avec une autre équipe. Vous multipliez des choses. Et l’avantage énorme que ça vous apporte, c’est non seulement que c’est kiffant d’avoir plusieurs activités, mais qu’en plus s’il y en a une qui périclite un jour, vous avez l’autre sur laquelle vous rattraper. Vous pouvez même expérimenter des pivots. Faire un petit Lab en interne avec un ou deux collaborateurs dans votre boîte pour tester un marché, le laisser comme ça. Mais si un jour votre marché principal plante un petit peu, bim, vous mettez de la force et de l’énergie sur ce pivot que vous avez déjà préparé. Vous pouvez vous ouvrir à des tas d’activités, à des tas de marchés sans aucun risque ! Et ça je suis sûr… que ça vous Apostrophe…

J’espère, je suis sûr, que cette idée de pivot vous aurez apporté quelque chose. Restons, s’il vous plaît, en contact. Abonnez-vous à ma chaîne, suivez-moi sur les réseaux sociaux. Et surtout, commentez sous cette vidéo ! Il va falloir que je vous parle des « Cercles d’or » de façon un peu plus profonde. Je vous en ai parlé en début de cette vidéo. Et si vous regardez bien le déroulé de cette vidéo, vous verrez qu’elle est structurée selon les cercles d’or. Je vous ai parlé du « Quoi », puis du « Comment », puis du « Pourquoi ». Bref il va falloir que j’aborde ce sujet avec vous. Ce sera la prochaine fois !

Rendez-vous de la Transformation Digitale en fin de semaine prochaine. Puis entre deux, mardi, on aura sûrement les 3min Techno ! Je vous dis à très bientôt pour de prochaines aventures !

(Musique)

Je ne sais pas ce qu’il devient Bernard Pivot… Si ça se trouve il vit à la campagne… Il fait pousser du pavot, Pivot…

[3mn Techno] Développer son activité sur LinkedIn avec la vidéo

Si vous êtes un pro, vous devez soigner votre présence sur LinkedIn. Si vous êtes sur un marché BtoB, cela devient indispensable, et la vidéo est votre « arme absolue » !
Mais on ne fait pas n’importe quoi en vidéo sur LinkedIn, sous peine, au mieux, de n’obtenir aucun résultat, et au pire de se voir déclasser au fin fond des fils d’actus.
Il y a des contraintes LinkedIn à respecter pour la vidéo, il y a des astuces à suivre, des bonnes pratiques, et beaucoup de bon sens… Réussir sur LinkedIn passe par la vidéo, mais surtout par le pragmatisme de vos actions, qu’il s’agisse de marketing ou de communication.
Voyons ensemble votre petite check-list pour booster votre activité sur LinkedIn grâce à la vidéo !

Comment devenir leader de son marché ?

Comment devenir leader de son marché ? (Océan Bleu)

Comment vaincre la concurrence ? C’est une question que beaucoup de patrons se posent, et j’en fais partie. Car le marché est rude, il existe de très nombreuses qui sont comme la nôtre, qui proposent les mêmes produits, les mêmes services, et une qualité équivalente. Alors comment se distinguer de la masse ?

Notre premier réflexe va être de proposer un meilleur produit, un meilleur service, de baisser nos prix, de proposer un meilleur service après-vente, d’avoir une meilleure communication. Mais cela ne fait pas de nous le leader de notre marché !

Et si je vous disais qu’il existe un concept assez simple qui vous permettra de devenir leader de votre marché ? C’est le principe de l’Océan Bleu : explorer de nouveaux horizons pour identifier de nouveaux marchés et s’y imposer comme le numéro un. Devenir leader d’un marché émergeant.

Je vous explique tout ça en vidéo, et j’attends vos réactions en commentaires !

Transcription textuelle de la vidéo :

Il commence à faire froid, il pleut… C’est un temps de chien… Un bon moment pour se retrouver bien au chaud tranquillement entre nous et réfléchir à des sujets importants. Du genre : Comment devenir leader sur son marché ? Ça peut paraître un boulot de fou vu comme ça. Mais en fait, il y a un concept qui permet de se faire sa place de leader sur son marché…

Je vais vous expliquer quel est le concept de L’Océan Bleu… C’est tiré d’un bouquin dont je vais vous parler, puis je vais essayer d’aller un petit peu au-delà en vous expliquant le concept tel que moi je l’ai compris. Je vais aussi vous dire concrètement comment on manipule ce truc, comment on fait pour se trouver un marché sur lequel on peut être leader demain, concrètement. Troisième chose : je vous dirai aussi quels sont les risques potentiels et les enjeux, tout ce qu’il y a à gagner, les opportunités
de partir sur cette logique de l’Océan Bleu. Parce qu’il faut rester pragmatique, il faut mieux réfléchir avant d’agir. Ce concept est super important, il vous le faut. Eh bien je vous en parle dans cette vidéo.

Alors d’abord le grand principe de l’Océan Bleu. Ça vient d’un bouquin de Kim et Mauborgne qui est un Best-Seller, qui s’appelle « Cap sur l’Océan Bleu » ou « Stratégie de l’Océan Bleu ». Le concept qu’il faut que je vous fasse comprendre, c’est effectivement cette opposition entre un océan qui serait rouge, et un océan qui serait bleu. L’océan rouge c’est le mode de fonctionnement que les entreprises ont depuis très longtemps, qui vise à être sur un marché qui existe déjà.
Forcément, on est tous sur un marché qui existe déjà. Et vous allez voir que l’Océan Bleu c’est l’inverse. Être sur un marché qui existe déjà, c’est se dire : il y a plein de gens qui achètent du pain, il y a plein de boulangers, moi aussi je vais devenir boulanger, et puis moi aussi je vais vendre du pain parce que je sais qu’il y a des gens qui l’achètent.
Juste vous allez vous tirer la bourre avec d’autres boulangers, vous allez vous faire concurrence, et en fait y a plein de boulangers parce qu’il y a plein de gens qui achètent du pain et vous essayez de faire la baguette un petit peu moins cher, un petit peu meilleure, un petit peu différente, un petit peu machin… Mais tout le monde se bouffe sur votre marché de la boulangerie. C’est l’Océan Rouge, parce qu’il est rouge de sang. Parce que tous les poissons de l’océan sont en train de se becqueter les uns les autres. Ensuite on mange les plus petits, on essaie de ne pas se faire bouffer par les plus gros, on se chicane avec ceux qui ont la même taille que nous. C’est l’Océan Rouge.
L’autre voie, c’est celle de l’Océan Bleu,qui consiste non pas à se chicaner sur un marché qui existe, mais de se dire : je vais aller créer mon propre marché. On crée une demande, on lance une offre là où il n’y en a pas. On va chercher des clients qui n’achètent pas aujourd’hui, on va développer une innovation, un produit qui n’est peut-être même pas demandé aujourd’hui. Ça a plein de risques, mais le gros avantage c’est qu’on se retrouve sur un océan bleu. On est tout seul. Et quand ça fait quelques années qu’on est dans une entreprise qui se chicane dans un Océan Rouge… Je vous assure que respirer dans un Océan Bleu, c’est du pur bonheur !
Certes c’est très différent, on est pas en train de combattre de la même façon, mais il y a plein d’explorations à faire, et on se retrouve leader sur un marché émergeant. Ce qui peut présenter des opportunités… dingues ! C’est important que vous ayez en tête ce concept d’Océan Rouge par opposition à l’Océan Bleu. Attention, contrairement au bouquin, je suis pas en train de vous dire que l’Océan Bleu c’est bien, et l’Océan Rouge c’est pas bien. Mais simplement, ayez ce concept en tête parce que ça peut vous permettre de réfléchir d’une façon un peu différente, d’aérer vos idées pour développer vos activités. Pensez pas que « Océan Rouge », dites-vous qu’il peut y a avoir un Océan Bleu qui peut exister.

Le concept classique d’Océan Bleu aujourd’hui décrit 4 items pour essayer d’identifier vos potentiels Océans Bleus : d’exclure, renforcer, créer, atténuer.

Rapidement, imaginons que vous soyez une boulangerie. Vous pouvez imaginer par exemple d’exclure des éléments de votre business qui n’apportent pas grand chose au client. Par exemple vous dire : qu’est-ce que je peux exclure ? Bah la boulangerie elle-même, le lieu physique. Je peux devenir une boulangerie en ligne. Une boulangerie sans boulangerie.
Deuxième item, ça peut être « renforcer ». Alors renforcez un élément qui est moins perçu par votre clientèle. « Moi je fais des pains exotiques avec des graines super spéciales » Bah je fais plus que ça. Je fais plus que boulanger en graines exotiques. Vous voulez une baguette classique ? C’est pas chez moi. Moi je fais que des baguettes comme ça ou des pains super spéciaux.
Le troisième item, ça peut être « créer une nouvelle source de valeur jamais offerte par le marché ». Moi je fais de la pâte à pain, bah je vous vends une machine à pain pour mettre chez vous, et je vous vends de la pâte à pain quand vous voulez, qui peut se conserver, comme ça vous faites votre pain vous-même, depuis chez vous, comme vous voulez.
Et le 4ème item c’est « atténuer », atténuer notamment des surcoûts classiques. Eh bien vous faites un modèle de boulanger associatif. Plus de salariés, chez vous ce sont des gens du village, par exemple, qui se relaient pour vendre le pain.
Les 4 items : exclure, renforcer, créer, atténuer. Ça peut vous permettre, dans vos business à vous qui n’êtes pas boulanger, d’identifier de potentiels Océans Bleus.

Alors personnellement, j’ai une idée un tout petit peu différente de comment faire pour se créer ses Océans Bleus. Elle est très complémentaire à celle-ci donc je vous la livre aussi, et vous additionnerez les deux. Je pense que c’est assez juste d’utiliser ces quatre leviers-là, pour partir de son business et de dire : « Comment le rompre pour chopper un marché vierge ? » J’aime bien aussi l’idée de partir du parcours client. D’interroger ce marché qui n’est pas le vôtre, d’interroger des gens. D’aller dans un lieu où il y a plein de monde le matin, à l’heure du petit dej’ où on achète les baguettes, et de questionner des gens. « Tiens, vous pour vous, acheter du pain c’est quoi ? », « Bah c’est le petit dej », « Ah le petit dej, c’est quoi ? », « Bah c’est un moment convivial, parce qu’il y a des parfums, y a le chaud du café, y a le café qu’on peut se faire soi-même avec tout un tas de trucs, moi je mets un peu de lait, et mon épouse elle ne met pas de lait, et puis machin, et ça crée un moment convivial avec ma petite confiture et mon petit pain etc. »
Tiens, idée, et si je faisais un truc, une boutique qui ne soit pas une boulangerie mais une petite « déjeunerie » ? Un lieu où je peux prendre à la fois mon café, et ma boisson et ma confiture et mon pain et mon machin, et… je crée Starbucks. On peut aussi se créer ses Océans Bleus, ses marchés vierges, en interrogeant directement des gens… sur leurs envies potentielles, sur leurs rêves non-assouvis aujourd’hui, parce que justement il n’y a pas d’offre. Ça peut être une très bonne façon aussi de créer votre marché de toutes pièces. La seule petite différence avec le concept que je vous citais avant, c’est qu’on part de rien et qu’on est sûr d’avoir vraiment une demande.
Là où toute à l’heure, on partait de quelque chose, mais on était pas sûr qu’il y ait une demande. Additionnez les deux idées. Je pense que ça peut vous servir dans votre activité.

Vous avez pigé le concept: « Océan Rouge », « Océan Bleu ». Vous avez des pistes pour pouvoir identifier, réfléchir à vos potentiels Océans Bleus. Maintenant, quels sont les enjeux de ce truc ? En fait, c’est forcément hyper intéressant de réfléchir, ne serait-ce que réfléchir, à ces Océans Bleus. Pourquoi ? Parce que ça va remettre en question votre business. Si vous êtes mal dans votre business, si c’est la foire d’empoigne avec votre concurrent et que c’est raide, et que vous avez du mal à faire de la marge, l’Océan bleu ça va vous permettre d’aller sur un marché où vous allez pouvoir ne pas vous préoccuper de la guerre des prix. Ce qui est super intéressant. Vous allez être tout seul. Vous n’allez pas vendre un prix, vous allez vendre une solution nouvelle voir une innovation. Si vous êtes une entreprise qui va plutôt normalement sur un Océan Rouge, c’est très intéressant de pouvoir identifier des Océans Bleus pour vous trouver des leviers de croissance complémentaires.
Vous avez forcément un petit de mal dans votre Océan Rouge, vous ne pouvez pas exploser les compteurs, bah d’identifier des Océans Bleus complémentaires, ça va vous permettre d’être sur tous les fronts, et de vous battre avec beaucoup plus d’armes sur votre Océan Rouge ; que je ne réfute pas, on y est tous. Et même si votre activité défonce tout sur un Océan Rouge et que vous êtes en train de becter tout le monde, bravo, mais c’est aussi pour vous très intéressant de réfléchir à de l’Océan Bleu histoire de pas vous faire avoir par des concurrents que vous êtes en train de grignoter sur l’Océan Rouge, et donc qui sont tous en train de regarder les Océans Bleus, et qui vont gagner des parts de marché demain sur de l’Océan Bleu.
Ne vous faites pas bouffer votre avenir sous prétexte que vous êtes fort aujourd’hui. Réfléchissez avant eux. Il y a plein d’activités qui se sont fait « Ubériser » la tronche. Sachez qu’il y a pas mal d’entreprises qui financent de la concurrence, qui financent de l’innovation, plus ou moins en interne, de petites entreprises, de startup, pour qu’elles trouvent d’autres modèles qui les concurrencent elle-même. Pourquoi ? Parce que comme ça elles ont la main mises sur leurs potentiels futur concurrents en Océan Bleu de demain. Faites pareil : même si vous allez très bien sur un marché, explorez vos Océans Bleus.

Dans tous les cas, il est très important et vraiment intéressant que vous, patron, manager, etc., vous identifiiez ce concept d’Océan Rouge, d’Océan Bleu, parce que forcément c’est une idée qui va faire son chemin, et dont vous allez entendre parler régulièrement dans le développement de votre activité. Océan Rouge, Océan Bleu, c’est qu’un concept.

Lors de ma prochaine vidéo je vous parlerai du concept de Pivot. Qui vise aussi à faire bouger les lignes de vos activités pour conquérir le marché de demain. C’est de ça dont on parle sur cette chaîne: de transformation numérique de nos sociétés. C’est super important pour moi de vous faire partager ça, parce que c’est ça l’avenir par la pérennisation et le développement de nos activités.

Partagez s’il vous plaît dans les commentaires. Vous avez tellement de choses à apporter vous aussi, on y gagne tous ! Donc partageons. Abonnez à ma chaîne, et la semaine prochaine en fin de semaine, ce sera un autre rendez-vous de la transformation numérique. On parlera très probablement je pense de ces fameux « pivots d’entreprise ». Je vous ferai découvrir tout ça. À bientôt les amis, passez une bonne semaine.

[3mn Techno] Comment mener une campagne SEO efficace ?

Les étapes, simples et efficaces, pour lancer une vraie campagne de développement de votre référencement naturel.
Ce n’est pas bien compliqué en fait, et ça fonctionne vraiment… reste à savoir pourquoi 98% des sites ne font pas ces choses simples qui apporte du vrai trafic qualifié et durable en SEO… Ca reste un mystère.

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Dans votre vie quotidienne, vous devez sans cesse prendre des décisions. Que ce soit dans votre vie professionnelle ou personnelle, vous êtes toujours obligé(e) de faire des choix. Pourtant, ce n’est pas une chose aussi simple qu’on voudrait le croire. On est même souvent tenté de ne prendre aucune décision et de remettre le tout à plus tard. Car, finalement, ce dont on a le plus peur, c’est de prendre une mauvaise décision, de se tromper !

Et pour cause ! Depuis petit, l’école vous a appris qu’il n’y avait qu’une seule bonne solution. Mais il existe souvent plusieurs bonnes solutions car le Monde n’est pas si binaire que ça ! Entre plusieurs choix, vous pourriez donc très bien prendre une bonne décision, car il en existe plusieurs !

Que vous soyez patron, indépendant, salarié, cette prise de décision ne devrait pas être si difficile. C’est pourquoi il faut toujours prendre des décisions : prenez-en le plus possible ! Pourquoi ? Je vous explique ça en moins de 4 minutes. Laissez-moi votre avis en commentaires !

Doit-on investir et s'investir dans une nouveauté dès sa sortie ?

Doit-on investir et s’investir dans une nouveauté dès sa sortie ?

Un nouveau réseau social apparaît, un nouvel outil marketing, et la première question que l’on se pose : quand doit-on se lancer ? Ces deux exemples marchent pour tout, et la question sera toujours la même. Alors c’est quand le bon moment ? Quand faut-il se lancer dans une nouvelle aventure ? Faut-il laisser mûrir une nouveauté avant de l’investir ? C’est la thématique de la vidéo du jour !

Avant toute chose, je vous conseille d’être pragmatique. Ne soyez pas comme 95% des entreprises que je rencontre, et ne cherchez pas à avoir la même chose que vos concurrents sans raison ! Je vois trop d’entreprises qui veulent un site parce que la concurrence possède un site. Arrêtez ça ! 

D’ailleurs, on en vient à mon second conseil. Mais pour la suite, je vous laisse découvrir ça en vidéo. Prenez le temps de l’écouter, puis on en reparle en commentaires ou sur les réseaux sociaux. 

Comment ne plus jamais être à court d'idées ? Créer votre machine à idées !

Comment ne jamais être à court d’idées ?

Votre cerveau est constamment en train de travailler pour vous. Sans cesse, il invente et innove. Des idées, vous en avez des dizaines, peut-être des centaines. Pourtant, lorsque vient le moment d’en trouver une pour votre entreprise, c’est la page blanche. Mais elles sont bien là, alors pourquoi n’arrivez-vous pas à les avoir au bon moment ? Simplement parce que vous n’avez pas pris le temps de les trier !

« L’art n’est pas d’arriver avec des idées neuves mais d’interpréter ces idées qui nous entourent depuis toujours. » George Lucas

Comme les déchets, vos idées ont besoin de mûrir et d’être triées. C’est pourquoi je vous confie aujourd’hui mes 3 étapes clés pour ne jamais être à court d’idées. Il est temps de cliquer sur Play pour créer votre machine à idées !

Peut-on innover sans rien inventer ? Renaud Varoqueaux

Peut-on innover sans rien inventer ?

Depuis des millénaires, l’être humain invente de nouvelles choses de par sa curiosité, son intelligence ou encore son talent. Dans tous les domaines, chaque année, de nombreuses inventions voient le jour. Chacune de ces inventions tente d’innover afin de, peut-être, révolutionner le quotidien.

Mais peut-on innover sans rien inventer ? Même si les deux semblent parfois indissociables, je suis sûr que c’est le cas. Car parfois, il vaut mieux observer le monde et l’améliorer plutôt que de chercher à le révolutionner. Comme le disait Friedrich Nietzsche :

« Aussitôt qu’on nous montre quelque chose d’ancien dans une innovation, nous sommes apaisés. »

C’est pourquoi je vous conseille de rester pragmatique et d’améliorer l’existant avant de chercher l’invention à tout prix. Parlons-en davantage en vidéo…